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Gopaldhara China Muscat Gold Second Flush Darjeeling - John Bickel
juillet
Edité et réimprimé avec la permission du Thé dans le monde antique Blog
Gopaldhara Muscatel Gold (CH FTGFOP1, deuxième flush)
Ce thé (décrit ici) est une bonne version de ce que l'on pourrait attendre d'un Darjeeling ; un vrai thé noir, et un deuxième chasse type à cela, donc plus lourd sur le muscat et d'autres éléments de fruits. Même encore sec, le thé semble juste comme il se doit, avec le parfum de thé sec comprenant beaucoup de muscat, ainsi qu'une douceur maltée et des tons d'agrumes.
Le type de théier (cultivar) est présenté comme issu d'un théier chinois, qui se rapporte à Camelia Sinensis var. Sinensis, contre var. Assamica. Les thés de Ceylan et d'Assam sont généralement tous issus de plantes Assamica, mais ce n'est pas le cas des Darjeelings, les problèmes de culture des types Assamica dans cette région étant résolus en passant aux types de plantes chinoises (var. Sinensis). Ce Poste de vendeur Hojo couvre essentiellement cela, mais pas dans beaucoup de détails, y compris également l'idée que la var. Les plantes Sinensis se sont mélangées avec des plantes de type Assamica (dans une certaine mesure), donc selon cette source et d'autres intrants fiables, elles seraient maintenant un hybride.
Le goût correspond au parfum : beaucoup de raisin / muscat, un peu d'agrumes dans la gamme du zeste d'orange, avec une base de malt riche et terreuse pour le contexte. Les saveurs sont franches, sans pointe d'astringence, juste un peu pour lui donner un côté plus ample (encore plus intéressant lié aux soucis de type végétal).
A partir de là, un certain nombre d'éléments plus subtils donnent au thé un effet de complexité, le tout dans une présentation agréable. Ce caractère terreux est vraiment au bord de la gamme minérale, me rappelant le grès rouge de la randonnée dans la roche lisse dans le désert de l'Utah. Comme un aspect gustatif peut sembler lié à un aspect corporel ou ressenti, un peu de sécheresse va de pair, plus dans la deuxième infusion que dans la première.
Une légère touche d'épice à la cannelle se joint également, mais c'est assez subtil, rien à voir avec l'effet quand c'est un élément de goût principal dans un oolong plus torréfié. C'est un bon accord avec le muscat, les agrumes et le malt.
Le thé n'a pas d'astringence dont on aurait besoin pour infuser, mais il semble que l'expérimentation de la température d'infusion pourrait modifier cet effet, la sensation du thé, ainsi qu'un changement mineur des éléments de saveur. Infusé un peu plus frais, l'effet est d'un thé plus doux et plus fruité, avec des aspects terreux et un corps sec et plus plein qui sort à des températures relativement plus chaudes. En règle générale, on infuse des Darjeelings un peu en dessous de la gamme de thé noir pour pousser l'effet de saveur et alléger le corps, selon ma compréhension. L'expérimentation déterminerait comment cela correspond à la préférence personnelle, et cela pourrait avoir plus de sens pour les thés moins oxydés, en fonction de ce facteur.
Rédigé par:
Jean Bickel est un blogueur de thé basé à Bangkok, en Thaïlande, originaire des États-Unis. Il travaille dans le domaine des technologies de l'information, en tant que directeur principal de l'assurance qualité dans une entreprise de centres de données de premier plan. Les intérêts du thé concernent la participation aux médias sociaux (administrateur du groupe Facebook International Tea Talk), les voyages liés au thé en Asie, l'essai de thés de différentes régions et l'examen de la transformation du thé et du contexte des cultivars.
